Dangers dans le Ciel : Carrefour de la mort
Deux appareils entrent en collision au-dessus d'Überlingen, en Allemagne. Il s'agit d'un Tupolev russe transportant une cinquantaine d'enfants et un Boeing 757. La catastrophe fait 71 victimes.
Deux appareils entrent en collision au-dessus d'Überlingen, en Allemagne. Il s'agit d'un Tupolev russe transportant une cinquantaine d'enfants et un Boeing 757. La catastrophe fait 71 victimes.
L'appareil s'écrase sur une montagne en Colombie.
Une fuite de carburant se produit durant le vol sans que les pilotes ne s'en rendent compte à temps. Application d'une check-list aggravant le problème par les pilotes en raison de leur ignorance de la fuite de carburant. L'avion tombe en panne sèche et se retrouve en vol plané. L'équipage parvient à planer durant 19 minutes (un record pour un avion de ligne) pour effectuer un atterrissage d'urgence à très grande vitesse sur la piste de l'aérodrome militaire de Lajes, aux Açores.
L'appareil se déroute à la suite d'un incendie à l'arrière du poste de pilotage. L'incendie détruit progressivement les commandes de l'appareil. L'avion s'abîme en Atlantique Nord au large de la Nouvelle-Écosse avant d'avoir pu atterrir.
Les instruments de vol affichent des données contradictoires en vitesse et en altitude. Le pilote tente un atterrissage d'urgence mais s'écrase dans l'océan Pacifique.
À la suite d'un défaut de conception, une porte de soute à bagages s'ouvre en vol au-dessus du Pacifique, provoquant une décompression explosive et arrachant une partie du côté du fuselage. Neuf personnes attachées à leurs sièges sont éjectées. L'appareil se pose à Hawaï.
Le stabilisateur horizontal se bloque. L'appareil s'abîme dans le Pacifique, au large de la côte californienne.
L'appareil sort de la piste à l'atterrissage, à Little Rock.
Un des moteurs est détruit en plein vol à la suite d'une rupture de fatigue de l'hélice provoquant des dommages importants sur l'avion. Les pilotes tentent de procéder à un atterrissage en urgence, mais l'appareil s'écrase.
À la suite d'un encombrement de l'espace aérien autour de New York, l'appareil subit de nombreux retards puis tombe en panne sèche et s'écrase.
L'appareil est détourné à Alger avant le décollage de l'avion. Il se rend ensuite à Marseille pour une escale où le GIGN français intervient.
Une fenêtre du cockpit de l'appareil se détache et est éjectée au loin, provoquant une brutale décompression explosive dans l'appareil. Le pilote, non sanglé à son siège, est presque entièrement aspiré à l'extérieur. Seuls ses pieds restent dans le cockpit et ils sont coincés dans le manche à balai, lui-même bloqué en position piqué. Les membres d'équipage vont se relayer pour éviter qu'il ne bascule entièrement dans le vide. Le copilote procède à un atterrissage d'urgence...